
Projection du film « Pour Sama», le jeudi 21 novembre 2019, 20h30 à Viry-Châtillon

Lettre à envoyer au Roi d’Arabie Saoudite et à l’Ambassadeur d’Arabie Saoudite, demandant de libérer immédiatement et inconditionnellement Waleed Abu al-Khair, avocat saoudien emprisonné.
Waleed Abu al-Khair a défendu de nombreuses victimes et militants des droits humains, notamment le blogueur Raif Badawi.
Son engagement pacifique lui vaut de purger actuellement une peine de prison de 15 ans, assortie de 15 ans d’interdiction de quitter le territoire.
Lettre : Arabie_Saoudite_Lettre_fev_2016
Le 5 mai, les députés sont appelés à voter le projet de loi renseignement.
Les débats ont eu lieu du 13 au 16 avril dans le cadre de la procédure d’urgence.
A l’issue de cet examen, le texte soumis au vote consacre un dispositif liberticide, qui expose tous les citoyens à la surveillance des services de renseignement, quasiment sans contrôle, et met en danger toutes les mobilisations sociales et politiques.
Citoyens et parlementaires doivent refuser ce simulacre de débat et exiger une discussion démocratique protégeant chacun contre les dérives d’une société de surveillance et assurant un contrôle strict et indépendant de l’activité des services de renseignement.
L’appel du 4 mai 2015 à un Rassemblement Esplanade des Invalides Paris France, 18h30)
Signataires de l’appel : Observatoires des libertés et du numérique – OLN (Cecil, Creis-Terminal, LDH, La Quadrature du Net, Syndicat de la magistrature, Syndicat des avocats de France,) – ATTAC – Amnesty International France – Mrap – CSF – CGT – CGT Police Paris – DAL – Fondation Copernic – SNPES/PJJ – SNEPAP/FSU – SUD – SOLIDAIRES – SNJ – SNJ/CGT – SNUCLIAS/FSU AGISSEZ
François Hollande participe ce mardi 5 mai à une réunion du Conseil de Coopération du Golfe en Arabie saoudite, 100 jours après l’accès au trône du roi Salman bin Abdul Aziz Al Saud. Les perspectives de progression des droits humains dans ce pays ne sont guère réjouissantes, alors que les violations généralisées continuent sans relâche.
Depuis l’arrivée au pouvoir du nouveau roi, l’Arabie saoudite a lancé une campagne militaire au Yémen comprenant des bombardements aériens au cours desquels des centaines de civils ont été tués, notamment lors d’attaques laissant craindre des violations du droit international humanitaire.
Sur place, de nombreux prisonniers d’opinion, détenus uniquement pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression, d’association ou de réunion pacifique, demeurent derrière les barreaux et les procès iniques de militants des droits humains accusés de « terrorisme » se poursuivent.
Peu après l’accession au trône du roi Salman bin Abdul Aziz Al Saud, nous lui avons adressé par écrit une série de recommandations essentielles en matière de droits humains.
Les demandes de libération des dizaines de défenseurs des droits humains, partisans de la réforme, dissidents et militants emprisonnés, parmi lesquels Raif Badawi, qui a été condamné à 10 ans de prison et 1 000 coups de fouet pour avoir simplement exercé son droit à la liberté d’expression, sont restées sans réponse.
Lire l’article complet sur le site d’Amnesty International France